Il semble qu’avec le développement du processus démocratique, où tout doit être évalué en termes de quotas partisans, on ait substitué des normes de compétence à des normes d’inaptitude, voire d’impuissance. Pendant de longues années, l’on n’a pas cessé de s’emmêler les pinceaux : ce qui devrait être régi par la compétence, la connaissance, l’habilité, en un mot la qualification, …